La forêt était la bête, 2012 - graphite sur papier 220 gr, format 493 x 225 cm - résine, tissus, latex, cuir, bois...
« Mon esprit me porte à raconter la mutation des formes en des corps nouveaux » Ovide (1, 1).
La forêt était la bête porte une réflexion sur les zones limitrophes entre espace sauvage et espace dit civilisé. Un travail réunissant une partie de mes recherches autour d’Artémis. La forêt comme espace du mythe, comme un labyrinthe fait de chemin tortueux, elle égare le chasseur et deviens le lieu où les personnages sont confrontés à une vérité dépassant leur champ d’action. Lieu où la conscience d’être devenu la proie de la forêt qui elle est devenue la chasseresse.